top of page

Merci d’être partants pour notre aventure de l'innovation !

Chers amis,

Au cours des prochains mois, jusqu'à la véraison (quand les raisins mûrissent et deviennent résistants au mildiou), nous allons découvrir comment des tests ADN participent à la lutte contre le mildiou et la réduction de l’utilisation de fongicides dans le vignoble Château Mamin.

Voici les derniers résultats, ainsi qu'un rappel de notre partenariat avec la start-up locale BaaS.

On a bien fait d'attendre !

Selon les derniers résultats BaaS, le risque infectieux est retombé à presque zéro en une semaine. On a bien fait d’attendre pour sulfater la vigne ! Par contre, hier, j’ai appliqué le premier traitement préventif de la saison avant la pluie aujourd’hui, qui peut favoriser le développement du mildiou. (Mieux vaut prévenir que guérir quand il s’agit de ce champignon parasite, qui peut être dévastateur.) Je n’ai utilisé que 35 g de produit, dilué dans de l’eau – une goutte dans l’océan par rapport aux 3 kg autorisé en agriculture Demeter par an.



Pourquoi faire des tests ADN dans le vignoble ?

Les raisins merlot sont sensibles à cette infection fongique, qui dessèche les fruits et réduit les rendements. Plus on détecte tôt les risques, plus on peut protéger efficacement les vignes en utilisant le minimum de produits antifongiques - au lieu de "pulvériser et prier".

Comment ça marche ?

Tous les 3 jours, nous collectons des échantillons à partir des pièges à spores placés autour du vignoble et les donnons à BaaS, une start-up spécialisée dans la détection précoce de pathogènes.

BaaS en extrait l’ADN et analyse la présence de spores de mildiou avant que les dégâts ne soient visibles.

Quand les risques augmentent, nous pouvons traiter les vignes à temps pour éviter la propagation du mildiou.

 

Pas encore inscrit ? Embarquez pour notre aventure d’innovation avec nous !

Inscrivez-vous à notre flash info BaaS :

 



9 views0 comments
bottom of page